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84 [aštuoniasdešimt keturi] Praeitis 4

lire	skaityti
J’ai lu.	(Aš) skaičiau.
J’ai lu tout le roman.	(Aš) perskaičiau visą romaną.
comprendre	suprasti
J’ai compris.	(Aš) supratau.
J’ai compris tout le texte.	(Aš) supratau visą tekstą.
répondre	atsakyti
J’ai répondu.	(Aš) atsakiau.
J’ai répondu à toutes les questions.	(Aš) atsakiau į visus klausimus.
Je le sais. – Je l’ai su.	(Aš) tai žinau — (aš) tai žinojau.
Je l’écris. – Je l’ai écrit.	(Aš) tai rašau — (aš) tai parašiau.
Je l’entends. – Je l’ai entendu.	(Aš) tai girdžiu — (aš) tai girdėjau.
Je vais le chercher. – Je suis allé le chercher.	(Aš) tai atnešu — (aš) tai atnešiau.
Je l’apporte. – Je l’ai apporté.	(Aš) tai atsinešu — (aš) tai atsinešiau.
Je l’achète. – Je l’ai acheté.	(Aš) tai perku — (aš) tai nupirkau.
Je l’attends. – Je l’ai attendu.	Aš to tikiuosi — aš to tikėjausi.
Je l’explique. – Je l’ai expliqué.	(Aš) tai aiškinu — (aš) tai paaiškinau.
Je le connais. – Je l’ai connu.	(Aš) tai pažįstu / žinau — (aš) tai pažinojau / žinojau.

Le bilinguisme améliore l'ouïe

Les personnes parlant deux langues entendent mieux. Elles arrivent mieux à distinguer des sons différents entre eux. Une étude américaine est parvenue à ce résultat. Des chercheurs ont testé plusieurs adolescents. Une partie de ceux-ci avait grandi dans le bilinguisme. Ces adolescents parlaient anglais et espagnol. L'autre partie ne parlait que l'anglais. Les jeunes gens devaient écouter une syllabe particulière. Il s'agissait de la syllabe ‘da’. Elle n'appartenait à aucune des deux langues. Cette syllabe était diffusée aux personnes tests par le biais d'écouteurs. En même temps, l'activité de leur cerveau était mesurée avec des électrodes. A l'issue de ce test, les adolescents devaient réécouter la syllabe. Mais cette fois, elle était accompagnée de nombreux bruits gênants. C'étaient différentes voix qui disaient des phrases insensées. Les jeunes bilingues réagissaient très fortement à la syllabe. Leur cerveau manifestait une grande activité. Ils arrivaient à identifier la syllabe avec ou sans bruits gênants. Les jeunes monolingues n'y arrivaient pas. Leur sens de l'ouïe n'était pas aussi développé que celui des jeunes bilingues. Le résultat de l'expérience a surpris les chercheurs. La seule chose connue jusqu'alors était que les musiciens ont une ouïe particulièrement bonne. Mais il semble que le bilinguisme aussi entraîne l'ouïe. Les personnes bilingues sont constamment confrontées à différents sons. Ainsi, leur cerveau doit développer de nouvelles compétences. Il apprend à différencier différents stimuli linguistiques. Les chercheurs testent actuellement l'influence des connaissances linguistiques sur le cerveau. Peut-être que l'ouïe en profite aussi quand on apprend les langues plus tard…